Dans le but d’évaluer de façon scientifique la charge de travail des DDFPT (anciennement appelés chefs de travaux), le rectorat a élaboré « une formule mathématique permettant d’estimer [leur] quantité globale de travail » et il constate en même temps que « la méthode ne permet pas de quantifier de manière absolue la quantité globale de travail dévolue [...] mais permet de mesurer l’écart par rapport à la moyenne académique actuelle. » Bel exemple de pure langue de bois ! Le rectorat cherche à appliquer une pseudo formule mathématique pour quantifier l’inquantifiable et le reconnaît. Pire, peu importe que la charge moyenne de travail académique soit insoutenable, ce qui compte est d’être dans la moyenne !!!